Respirant a pleins poumons l’air frais Fenris sourit, refermant sa veste noir jusqu’au menton. Peu de gens appréciaient travailler de nuit, cela n’était pas le cas de la jeune femme. Passant par habitude ses pouces dans sa ceintures, elle jeta un regarde à la ronde. Dans un geste léger elle passa ensuite sa main sur son arme, bien qu’elle puiser tuer une personne à main nue, la présence de celle-ci était obligatoire, pour se protéger comme pour attaquer aussi en cas d’extrêmes mesures.
Attachant ses cheveux pas habitues, Fenris continuait de regarder tout en marchant. Cela faisait seulement quelques minutes qu’elle venait de prendre son service. Le propriétaire des bâtiments voulait que ceux-ci soient protégés, apparemment plusieurs fêtes illégales avaient eu lieux ici.
Souriant doucement, la jeune femme se souvint d’un temps où elle avait aussi fait la fête dans des endroits un peu étranges. Puis son sourire redoubla en se souvenant de la conversation avec son employeur, lui demandant si elle serait capable de genre ce genre de situation.
Fenris souffla devant elle, créant un petit nuage de fumer, elle avait bus avoir 25 ans cela l’amusait toujours un peu. Comme un enfant qui s’émerveille de la vie de tous les jours. Soudain son talkie-walkie fit entendre une voix, ils étaient deux ou trois à surveiller les bâtiments qui s’étendaient sur plusieurs hectares. Appuyant sur le bouton la demoiselle répondit alors que tout allait bien pour le moment. On lui avait proposé l’aide d’un chien de garde étant la seule femme de l’équipe. L’air froid et pincé Fenris avait répondu qu’après avoir fait l’armée elle n’avait sans doute pas besoin de ce genre de mesure là. L’homme confus c’était excusé de maintes fois.
Un léger courant d’air se levait, portant avec lui différent odeurs, respirant profondément la jeune femme ne sentit pas d’odeurs inhabituel. Il n’y avait pas non plus d’odeur de cigarette, d’alcool ou autres. Continuant sa ronde, elle contourna un bâtiment, on l’avait prévenue que des gens saccageait les grillages pour rentrer. Grâce à ses particularités la demoiselle voyait assez bien dans le noir, ou mieux qu’une personne normale. Pour une ronde efficace, elle préférait ne pas allumer la lampe torche situer à sa ceinture.
Tendant l’oreille, la louve ferma à demi les yeux, pas de bruit étrange, ni même métallique, seulement, les battements de son cœur, le son de ses chaussures contre le béton et le léger grésillement de son talkie. Ainsi que le très léger bruissement de ses plaques militaires contre la chaine, autour de son cou. Soudain un bruit attira son attention, Fenris se dirigea sans faire de bruit vers la source.